Entre Noël et le jour de l'an, nous ne pouvions partir que le week-end. En effet, Christine travaillait toute la semaine. Nous avons donc décidé de partir du vendredi soir au lundi en fin d'après-midi car le réveillon était prévu chez Manu et Karine.

Nous avions deux destinations en vue, Chamonix ou la mer. Chamonix en trois jours, c'est un peu court et la météo s'annonçait très agréable dans le midi. La décison a donc été prise de partir dans le Var. En plus, Kiki et Michel descendaient dans l'appartement des parents de Kiki, cela fera l'occasion de se rencontrer. J'avais aussi prévu un petit arrêt chez Oreca à côté du circuit du Castellet car j'avais besoin de pièces pour la révision de la monoplace.


Le vendredi soir, dès 18 heures nous quittons la maison en direction de Gréasque. Cela nous ferait déjà une bonne partie du voyage de faite pour le lendemain tout en ayant le temps de passer une soirée tranquille. Vers 9 heures, nous sommes sur l'aire que nous connaissions déjà et qui est bien agréable. Il y a peu de monde en cette saison. Nous passons une petite soirée calme avec un petit repas et un peu de télé. Il ne fait pas chaud dehors, mais à l'intérieur de notre petit nid on est très bien. Nous ne nous couchons pas tard.

L'aire de Gréasque


Le lendemain matin, l'aire est pleine de gelée blanche mais dès l'apparition du soleil, la température est très agréable. Après le rituel matinal, nous faisons quelques courses au supermarché du village et nous voilà prêts à aller voir la mer.

Nous traversons sans trop de mal Toulon qui doit mériter une visite un jour pour visiter la rade et le Montfaron. Ce n'est pas notre but aujourd'hui puisque nous voulons nous rendre à Giens. Nous y serons vers 12 h 30. Nous allons vers la tour fondue pour y prendre notre repas et faire une petite balade.

Paysage de la tour fondue

Une rencontre sympa, on ne voit pas une Testarossa tous les jours




La tour fondue


Juste après le repas, un appel téléphonique à Kiki nous apprend qu'ils sont déjà à leur appartement alors qu'ils ne devaient arriver que le dimanche. Rendez-vous est pris : nous nous retrouverons pour la soirée.

Nous nous baladons vers la tour fondue avec la vue sur Porquerolle. Il fait un peu de vent mais c'est bien agréable de ne pas avoir froid après les trois semaines d'hiver que nous avons passé à Valence.


Après cette petite promenade, nous voulons aller au port du Niel dans le centre de Giens. Nous tatonnerons un peu en cherchant la route mais finalement nous y arrivons. Heureusement que nous sommes en hors saison car nous n'aurions jamais pu nous garer en été.


Le port du Niel à Giens


Le port est très beau, nous entreprenons de suivre le petit sentier le long de la côte. Cela  nous fera une promenade d'une petite heure.




Le bord de mer


Je voulais ensuite prendre la route des salins, mais elle est barrée. Tant pis, nous longeons la côte pour visiter. il y a un peu de monde mais rien de comparable avec la haute saison. Quelques camping-cars sont garés ça et là, impossible en été...

Le hasard nous emmène à Miramar, le port de la Londe les Maures. Là aussi, une petite promenade sur la plage et sur le port.



L'entrée du port


La nuit arrive vite en cette période, vers 17 h 30 nous prenons donc la direction de borme les mimosas où nous attend la famille Ravit. Quelques courses de base avant d'arriver à l'appartement juste avant le coucher du soleil. Aucun problème pour se garer dans les rues, il n'y a personne, nous serons donc juste devant l'immeuble. Nous arrivons juste au moment ou Kiki, Michel et leurs enfants arrivent de promenade.

Nous nous installons pour la soirée qui sera longue, très longue et bien arrosée !! Je ne mettrai d'ailleurs pas de photo car nous voulons rester copains avec Kiki et Michel !!!! Nous nous couchons vers 2 heures du matin pas guillerets, mais le plus dur était à venir, le dimanche matin !! C'est là que l'on regrette les excés de la veille....


Vue de l'appartement, les mimosas presque en fleur le jour de l'an


Le dimanche commence donc calmement.... très calmement. Nous remangeons tous ensemble puis, nous partons nous promener en direction du Lavandou par le bord de mer. Cela remet les esprits et l'estomac en état de fonctionner.


En route !


Le temps est beau mais vif, il fait un peu de vent mais on est bien. Arrivé au Lavandou, c'est l'affluence des grands jours, beaucoup de gens profitent de la relative douceur en plein soleil (c'est moins vrai quand il y a des nuages).



On est pas tout seul !





L'après-midi passera comme cela.


Il est ensuite temps de nous quitter. Nous avons prévu d'aller jusqu'à Signes pour être sur place le lendemain chez Oreca, en effet, vu que nous sommes le 31 décembre ils m'avaient dit qu'ils fermeraient de bonne heure.

Nous partons donc vers 18 heures de Bormes laissant toute la famille Ravit pour une semaine de vacances.


Après une heure de route, nous arrivons dans la zone artisanale de Signes. Sur le chemin, il y avait l'air d'y avoir quelques petits villages sympas mais de nuit difficile de profiter du paysage. Cela fera peut-être l'occasion d'une autre balade....

Nous nous installons sur un petit endroit de la zone quasiment déserte, il est dimanche soir.

Nous prenons un repas au calme pour se remettre de la veille. Un peu de télé mais ce foutu DVD refuse de bien fonctionner (à voir en garantie celui-là) du coup nous entamons 20000 lieux sous les mers mais la fatigue nous pousse au lit. Il faut dire qu'on a beaucoup marché aujourd'hui (6 ou 7 kilomètres aller-retour).


Notre petit coin ou nous avons passé la nuit


Nous passons une très bonne nuit sans un bruit. Et nous ne nous réveillons pas de bonne heure. Un bon petit déjeuner et nous nous préparons tranquillement (douche, ménage...). Puis, vers 11 heures nous nous présentons devant le magasin........FERME LE 31/12 !!! Le pire, c'est que je leur avait téléphoné pour savoir s'ils étaient ouverts... GGRRRRRR !!


Du coup, nous décidons d'aller à Gemenos pour vidanger avant d'entamer une remontée tranquille vers Valence. Arrivée à Gemenos, il y a plein de monde sur l'aire de vidange (voiture, camping-car...). Du coup, je laisse tomber l'idée de la vidange pour l'instant.

Etant à Gemenos, je me dit qu'il ne serait pas bête de voir le tracé de la course de côte, on ne sait jamais si un jour on venait la faire... Nous prenons donc la route du Col de l'Espigoulier sous un magnifique soleil. Et là, quelle belle surprise, le paysage est grandiose et la route magnifique. Je m'arrête plusieurs fois pour faire des photos.



Le haut du tracé de la course de Gémenos


Nous basculons ensuite sur Auriol le pays de René BESTAGNO que nous voyons souvent sur les côtes. Nous nous attendions à voir un petit village mais nous arrivons dans une ville du coup difficile de passer dire bonjour à René, nous abandonnons donc l'idée (d'ailleurs, je suis sûr qu'il crie encore !! lol). Pendant que Christine va chercher notre contribution pour l'organisation du réveillon (un liquide jaune typique de la région qui se trouble dans l'eau), je peux vidanger mes eaux usées sur l'aire prévue à côté du Casino.


Etant donné qu'il est plus de midi, je programme le GPS pour un retour sur Valence en évitant les autoroutes à péage vu que nous avons le temps. Mais, contrairement à d'habitude, je ne regarde pas où il nous fait passer... Du coup, nous passons à Marseille alors que nous aurions certainement pu passer par Gardanne, heureusement il n'y avait pas de bouchons mais il n'y a rien à voir.


Nous prenons notre repas sur un parking de voie rapide presque désert. C'est là qu'après avoir analysé la carte, je me dis que le GPS nous a fait une bizarrerie... Tant pis, nous reprenons la Nationale 7 à Aix en direction du Nord.

Il y a peu de monde mais rouler sur les nationales de nos jours devient vite démoralisant. Limitations à 70 km/h, 50, rond-points, hantise d'un radar pour 5 km/h etc... font que l'on avance pas. Vers 17 H 30, nous sommes même pas à Pierrelatte ! Du coup, je décide de prendre l'autoroute à Montélimar Sud pour ressortir à Valence Nord vu que nous allons à St Donat. Nous passons donc devant la maison sans nous arréter, on prolonge les vacances !! De toute façon, on avait prévu d'aller au jour de l'an en camping-car pour ne pas avoir à rentrer après la fête. C'est un des avantages du camping-car.



Traversée d'Orange

Nous arrivons chez Manu et Karine, nous nous installons et la fête peut commencer pour changer d'année. Après la soirée de la veille, je gèrerai ma consommation pour ne pas être dans le coltar le lendemain matin et j'ai réussi...




Voilà, après le repas de midi que nous reprenons tous ensemble, nous rentrons à la maison après ce bon week-end. Une vidange complète pour ne pas geler les canalisation, un peu de nettoyage et de rangement et le camping-car est prêt pour la prochaine sortie, ce sera le Monté Carlo comme l'an passé vers la fin janvier.

Pour notre grande sortie annuelle, nous avions prévu d’aller en Alsace. Nos pass annuels chez Disney étant encore valables, nous rajoutons donc un petit passage chez Mickey. Ensuite, sur la route de l’Alsace, nous nous arrêterons à Verdun pour visiter une petite partie des champs de bataille de 14/18. Voilà pour le programme, mais cette année était aussi celle de l’acquisition de notre nouveau camping-car, pour la première fois nous allons y vivre dedans une dizaine de jour. Cela ne nous inquiétait en rien, bien au contraire nous allions nous faire plaisir.

Petit déjeuner sur l'autoroute



Après un petit repas et un peu de repos, nous rentrons à Disney Studio. Il fait un temps magnifique.  Je ne vais pas vous raconter le parc, vous pouvez lire nos résumés de nos autres visites. Il faut juste signaler l’ouverture de 2 attractions sympas, l’une qui ne paye pas de mine mais qui est bien quand même : « Cars » (surtout qu’il y a peu de queue), l’autre est carrément génial mais se mérite plus (1 heure de queue) : « Crush Coaster ». Si vous allez là-bas, à ne rater sous aucun prétexte au même titre que le grand 8 d’Aérosmith…

Cars





Crush coaster !! Génial...

 

A la fermeture de Disney Studio, nous rentrons dans le parc principal. Nous avons de la chance, le timing est idéal pour assister aux Parades de l’après-midi. Quelques attractions, la parade du soir avec le feu d’artifice et nous rentrons au camping-car bien épuisés mais très contents.


 

 Parade des 15 ans




Main street avant le final de la soirée

  

6/8 :

 

Au réveil, le soleil nous a quitté pour laisser place à la pluie. Nous partons pour une journée complète dans le parc. Notre connaissance des attractions nous permet de ne pas perdre de temps et de profiter au mieux de ce qui nous plait le plus et nous voyons aussi un spectacle ou deux que nous ne connaissions pas. Du coup, lorsque nous finissons la journée, nous décidons de ne pas revenir le lendemain, ainsi, nous gagnerons une demi-journée sur notre planning.

 

 

 

7/8 :

 

Réveil tranquille, le soleil n’est toujours pas là. Nous nous préparons puis nous faisons les services du camping-car (vidanges et plein d’eau). Une fois les corvées effectuées, nous prenons la route de Verdun pas la Nationale. Nous avons presque 3 heures de route. Après une centaine de kilomètres sous la pluie, nous rencontrons le soleil et nous décidons de prendre notre repas. La région est déserte et plate. Après le repas, nous reprenons la route mais nous ne sommes plus très loin de notre objectif. 



Là au moins pas de concentration de camping-car !

 

Notre première visite sera pour Vauquois, un village entièrement détruit par la guerre des mines, chaque camp creusant des tunnels pour faire sauter des explosifs sous les lignes adverses. Les cratères sont gigantesques. Il reste quelques vestiges des tranchées cotés allemand. Bizarrement, malgré la longueur de la bataille, il y aura « peu » de victimes comparé à d’autres sites de la région. Il y a aussi un petit musée à visiter mais il ferme de bonne heure.




Les cratères causés par les mines




Le plan des explosions

 

Après cette visite, nous nous rendons dans un cimetière américain non loin de là. Ce site d’une propreté irréprochable et d’un entretien parfait nous fait prendre conscience des pertes humaines au cours de cette guerre.

Après quelques mètres, je me pose la question de savoir combien de soldats reposent ici. Après un rapide calcul j’arrive à 12000 ! La lecture d’un document nous indiquera qu’en fait ce sont plus de 16000 américains qui sont dans ce cimetière. Une chose frappe rapidement, les dates des décès sont quasiment toutes regroupées en 4 ou 5 jours…



Cimetière américain




Impressionant et émouvant

 

Nous nous rendons ensuite aux Islettes où j’avais repéré une aire de camping-car très appréciées par tous ceux qui y étaient passés. Effectivement l’endroit est magnifique et pour 5 € la nuit il y a possibilité de faire tous les services et même de se doucher ! Le temps est beau et nous ferons la connaissance d’un couple de retraités. Nous prendrons un petit apéro ensemble et il nous raconterons un peu de l’histoire de la région car ils en étaient originaires.



Aire des Islettes : parfait

  

 

La nuit sera calme et comme prévue la pluie est arrivée.

 

 

 

8/8 :

 

Le lendemain matin, petit déjeuner, douche,  services, derniers mots à nos voisins d’un jour et nous partons pour les sites des champs de bataille sous la pluie et dans le brouillard.

 

Nous nous promenons sur plusieurs sites notamment les villages « morts pour la France ». Le paysage est composé d’une multitude de trous et de bosses formés par les obus. Nous nous arrêtons à l’Ossuaire ou reposent plus de 120000 soldats non identifiés des deux camps. Puis nous allons visiter le Fort de Douaumont. La visite guidée est très instructive.



L'ossuaire 

 

Le fort de Douaumont




Terrain défoncé par les obus

Enfin, nous visitons le mémorial de la Bataille de Verdun, là aussi beaucoup de chose à voir.

 

Le point commun à tous ces sites est la sensation lourde que l’on ressent lorsqu’on les visite. Le poids de l’histoire certainement…

 

En début d’après midi, en sortant du Mémorial, nous prenons la direction de l’Alsace. Après quelques kilomètres, nous mangeons sur une aire d’autoroute car il se fait tard.

 

Nous parcourons ensuite le reste de la route pour nous rendre Chez Eric à Haguenau. Il nous attends pour l’apéro, il y a longtemps que nous ne nous sommes pas vu car il est militaire et il est parti presque 2 ans au Gabon. Christine sa femme et Lauranne sa fille ne sont pas là, il est célibataire pour la semaine.

 

La soirée sera forcément bonne. Nous dormons dans sa cour où nous avons rentrés le camping-car. Seule consigne, fermer le portail en partant car il part travailler de bonne heure.



Installés pour la nuit Chez Eric

 

  

 

9/8 :

 

Au programme du jour : Strasbourg. La pluie est toujours au rendez-vous. Nous nous rendons au Parc du Rhin ou est répertoriée une aire de camping-car. L’idée est de retourner au centre ville en vélo, mais le temps nous fait hésiter. Nous nous disons qu’il vaut mieux partir à pied et prendre le bus ou le tram. Seul problème, nous ne trouvons pas la ligne de bus et de fil en aiguille nous arrivons vers la vieille ville à pied, le GPS indiquait 4 kilomètres !!! Bon, l’avantage de tout cela est que ça nous a ouvert l’appétit !! Eric nous a donné une adresse qui fait de bonne choucroute, parfait !!

 

Après ce bon repas, nous flânons dans la Petite France et nous décidons de prendre le bateau pour visiter la ville. Il pleut, cela nous mettra en plus à l’abri…



Petite France

 



Une écluse

Après une visite d’une heure, la pluie a cessée, nous visitons la cathédrale et encore un peu la ville. Puis il nous faut rentrer au camping-car.


Le parlement Européen

 
Sortie du bateau



La Cathédrale



Vue typique de Strasbourg




Un des nombreux canaux

Une analyse du plan des transports en commun, nous montre qu’en un coup de tram et un bus, nous serons devant le parc du Rhin !!! Grrrr, ce matin, nous n’étions pas dans la bonne rue, sinon l’arrêt de bus est à 100 mètres de l’entrée du parc ! Du coup le retour sera beaucoup moins fatiguant…

 

Nous passerons une petite soirée télé tranquille au camping-car en compagnie d’une dizaine d'autres. Le mauvais temps ne facilitant pas les contacts, nous échangerons seulement quelques banales politesses.

 

 

10/8 :

 

Après une très bonne nuit (la marche ça calme !), nous nous réveillons encore sous la grisaille. Je fais ma vidange et mon plein car on ne sait pas ce que l’on va trouver par la suite pour faire nos services. D’autres camping caristes nous indique que la tempête est passée sur le sud de l’Alsace et qu’il fait mauvais de partout. Ils parlent de redescendre dans le sud. Nous n’avons pas le choix et par manque de temps nous nous en tiendrons à notre programme.

 

 

Nous partons donc en direction du Mont St Odile. En route, nous faisons quelques courses à Obernai. Le village à l’air magnifique mais nous ne nous y attardons pas. Nous montons jusqu’à notre but dans le brouillard et comme prévu il n’y a aucun panorama possible à cause des nuages, nous visitons malgré tout le bâtiment, la visite est agréable même sans la vue, mais en voyant les cartes postales on ne peut s’empêcher de penser qu’on rate quelque chose de magnifique.


 

Jardin du Mont St Odile

Les batiments

 

 

En redescendant, nous nous arrêtons sur un terre plein d’où nous apercevons un peu la vallée.

  

 
Vue de la vallée

 

L’heure du repas arrivant, nous nous arrêtons en bordure de route à la sortie d’un petit village pour manger. Il passe peu de monde malgré que nous soyons en plein mois d’août. Dés le repas terminé, nous nous engageons sur la route des vins direction Dambach la Ville pour y acheter du vin blanc pour les papys de Loïs. A cette altitude, pas de nuage et le paysage est beau même si on aimerait le voir sous le soleil.

 

 
Paysage de la route des vins

Arrivée à Dambach, nous visitons le village et cherchons le producteur de vins, pas de bol il est fermé ! Il nous faudra en trouver un autre, par contre, vu que nous n’aimons pas le vin ni l’un ni l’autre j’espère que notre choix sera bon car on ne pourra pas goûter le breuvage ! 


La porte de Dambach

 

Le centre ville



Nous trouvons finalement notre vie dans une cave. La vendeuse nous confirme qu’il est trop tard pour monter au château du haut Koenigsbourg car il sera impossible de le visiter. Nous partons donc voir les villages de la route des vins.

 

Nous nous arrêtons d’abord à Ribeauvillé.

 

Une rue commerçante






Un Hotel


La tour de Ribeauvillé 

 

Puis à Riquewihr.

 

Une maison typique



Beaucoup de monde dans ces villages




Le beffroi 

 

De là, nous rejoignons l’aire de camping-car de Kayserberg, nous n’y arrivons pas de bonne heure et il y a déjà beaucoup de monde. Nos voisins nous font de la monnaie pour payer les 3 euros de l’horodateur. Même sur ce genre d’aire, on rencontre des gens sympas. C’est vrai que l’endroit est concentré mais vue la configuration des lieux et la fréquentation il est difficile de faire autrement. De toute façon, nous ne demandons rien d’autre qu’un coin pour passer la nuit et pouvoir visiter le village le lendemain matin. Après le repas, une averse nous fait abandonner la balade à vélo que nous avions entamés avec Loïs.

 

 

Les cigognes de Kayserberg 

Malgré le monde la nuit sera très bonne.

 

 

11/8 :

 

Nous entamons la journée par la visite de Kayserberg. Le temps n’est encore pas fameux. 


La rivière


L'église


D’un coup de vélo, nous allons jusqu’au village voisin beaucoup moins touristique mais tout aussi joli.

 

 

Souvenir de 39/40

 La rue déserte et pourtant très belle

 

Après avoir bien profité de la visite, nous prenons la direction du château du Haut Koenigsbourg. Nous prenons notre repas sur le parking avant d’aller au château pour la visite.

 

Ce château, entièrement rénové au début du 20^e siècle par les Allemands, est magnifique et renferme beaucoup de chose. Il rempli la fonction de musée que voulait lui donner le Kaiser lorsqu’il a souhaité sa reconstruction.

 

 

L'entrée du chateau


 La porte

 Un des nombreux poêles en céramique

Vue d'en haut


Au cours de la visite, le soleil fait enfin son apparition ! Cela faisait quelques jours qu’on ne l’avait pas vu…

 

 

 

En milieu d’après midi, nous décidons de nous rendre à Colmar pour visiter la ville et faire quelques courses. Une fois le ravitaillement effectué, nous nous garons un peu à l’écart du centre ville et nous prenons les vélos.

 

Nous les garons au début de la zone piétonne et nous visitons à pied. La petite Venise est magnifique, ainsi que la cathédrale.

La cathédrale


Petit marché



La petite Venise




Un des canaux 

Nous décidons de manger dans un restaurant, ce sera notre seconde choucroute des vacances. Loïs goûtera au Baeckeoffe autre spécialité alsacienne.

 

Nous avions trouvé un coin ou nous aurions pu passer la nuit prés du port de plaisance, mais finalement nous préférons retourner à l’aire de Kayserberg. Nous y arrivons un peu tard mais nous trouvons quand même une place.

 

 

Aire de Kayserberg 

12/8 :

 

 

Après être aller chercher le pain et les croissants, nous nous préparons lentement. Nous avions prévu une journée calme pour profiter de la montagne alsacienne à la station du lac blanc. Le beau temps du matin est très engageant. Nous effectuons tous nos pleins car nous devons passer la nuit suivante en Montagne.

 

Nous prenons la direction du Lac blanc, la route est belle mais au fur et à mesure que nous prenons de l’altitude, le mauvais temps revient et nous rattrape.

 

Nous faisons une petite halte pour voir le lac noir. Et nous allons jusqu’au lac blanc quelques kilomètres plus haut. Les 2 lacs sont reliés par une galerie et un système de générateur permet de faire de l’électricité en vidant le lac blanc dans le lac noir. Ensuite, les générateurs deviennent des pompes qui remontent l’eau jusqu’au lac blanc et le cycle peut recommencer.

 

 
 Le lac noir

Le lac blanc


 

Nous rejoignons ensuite la station de ski ou nous devons passer l’après-midi et la nuit. Juste avant le repas la pluie se remet à tomber ! Adieu balade à pied et à vélo… Nous ferons finalement une très grosse sieste qui nous fera beaucoup de bien. Après un peu de lecture, nous nous disons qu’il ne sert à rien de rester là sous la pluie battante. Nous prenons donc la route des crêtes en direction du Col de la Schlucht.

 

 

Après une petite pause au col, nous poursuivons sur la route des Crêtes quand au bout de quelques minutes, nous voyons ça :

 

 

 

Le lac de Longemer dans la vallée


 

Il fait beau dans la vallée ! Ni une ni deux, demi tour en direction du la de Longemer. Nous faisons une petite halte, le coin est magnifique. Nous serions prêt à rester garer là pour la nuit, mais le stationnement hors camping est interdit pour la nuit. Du coup, nous prenons la route de Gérardmer.

 

Après quelques minutes de recherche, nous échouons finalement sur l’aire de camping-car du centre ville car le stationnement est interdit partout ailleurs. Cette aire est la pire de toute celle que nous ayons fréquentée depuis que nous faisons du camping-car ! Nous avons vu après avoir pris notre ticket qu’il y en a une autre au pied des pistes de ski, un conseil allez à celle-ci, ça ne peut pas être pire ! L’aire et dans un état lamentable à coté d’un terrain vague et très bruyante. En plus cela crée une concentration de camping-cars ce qui est à mon avis la pire des choses. Ce qui est bizarre c’est qu’à Kayserberg le même type d’aire se comprend et est agréable alors que celle-ci vous encourage rapidement à aller ailleurs pourtant il y a autant de monde sur l’une que sur l’autre.

Nous sommes quand même à coté du centre ville, ce qui nous permet d’aller voir le lac et de visiter un peu à la nuit tombée. De toute façon nous voulons juste dormir une nuit et repartir le lendemain donc pas de soucis mais certaines personnes nous ont dit rester là plusieurs jours pour voir les fêtes du lac…

 L'aire de Gérardmer : évitez là !!

 

 

13/8 :

 

 

Après avoir pris le pain et déjeuner, nous quittons rapidement Gérardmer en direction de la suite de la route des Crêtes. Il ne pleut plus pour une fois même si le temps n’est pas exceptionnel.

 

Nous montons voir le Hohneck, deuxième sommet des Vosges.

 

En haut du honeck

 

Puis nous continuons en direction du Grand Ballon. La route des Crêtes est magnifique et offre de très beaux paysages.

 

 

En route pour le ballon !!


Arrivés sur place, nous montons le chemin pour atteindre le sommet du ballon pour admirer le paysage pour une fois sans pluie et sans trop de nuage.


Monument des chasseurs alpins

 Content d'être en haut !!

Nous prenons notre repas sur le parking et nous en profitons pour faire une pétanque ou deux avec Loïs, nous prenons un peu notre temps pour profiter de l’altitude.

 

 

En milieu d’après-midi, nous prenons la direction de Mulhouse pour aller se garer au Musée de l’auto et entamer la visite le lendemain matin. Mais une fois sur place, on nous indique qu’il n’est pas possible de rester dans l’enceinte du musée, seul le parking extérieur peut nous accueillir. Le coin ne nous plait pas beaucoup et vu qu’il n’est pas trop tard, nous prenons la décision de nous rendre à Bourbach le haut, aire pour laquelle j’avais lu beaucoup de bien.

 

Nous y arrivons une petite demie heure plus tard et là effectivement, c’est le bonheur ! L’endroit est magnifique avec un très beau panorama. Nous prenons un petit apéro au bar du village quand une grosse averse survient mais elle ne durera pas.

Aire de Bourbach le haut après la pluie




Vue depuis l'aire


 

De retour au camping-car, un autre véhicule arrive sur l’aire. Nous ferons un brin de causette et les gens nous dirons qu’ils étaient aussi à Gérardmer la veille sur la même aire que nous. Ils étaient largement du même avis que nous !! L’avantage, c’est que l’aire de Gérardmer nous a encore plus fait apprécier Bourbach…

 

 

Nous passerons une soirée tranquille au calme.

 

 

14/8 :

 

Au programme du jour, comme prévu la visite des musée de Mulhouse. Il faut dire qu’à part cela, Mulhouse n’est pas un lieu qui encourage la visite. Nous commençons par le Musée du chemin de fer en milieu de matinée.


Entrée du musée



Des locos à vapeur




Des électriques

 

La visite est magnifique est dure longtemps, et encore, un vrai passionné ne doit jamais en sortir tellement il y a de choses à voir !

 

 

 

Nous nous rendons ensuite au Musée Schlumph, nous prenons notre repas sur le parking du musée et nous rentrons de bonne heure pour la visite. Pour notre journée dans les musées, le temps n’a jamais été aussi chaud des vacances… c’est malin ! On frôle les 35 degrés alors pour nos visites extérieures on avait toujours les pulls !!

 

 
Entrée du musée Schlumph



Beaucoups d'anciennes



Des plus récentes,




Quelques autos de sport



Une Bugatti, une des plus belles du musée

Le musée de l’auto est magnifique est la visite prend aussi toute l’après-midi. Nous avons préféré celui de Lohéac l’an passé plus dédié au sport auto alors que celui-ci fait plutôt la part belle aux « anciennes ». Mais la visite est un vrai bon moment et vaut largement le détour.

 

 

Une fois terminé notre journée « musée », nous prenons la décision de nous rendre à Belfort. En effet, nos voisins de la veille nous ont dit que c’était très beau et pas très loin donc nous suivons leur conseil. En plus, cela nous permet d’entamer notre retour car nous touchons à la fin des vacances.

 

 

Après une petite heure de route, nous arrivons à Belfort. Nous trouvons un petit parking près de l’entrée nord de la Citadelle. Etant donné qu’il y a beaucoup de place sur ce parking, nous décidons de passer la nuit là en nous faisant le plus discret possible le long d’une grande haie. Nous discutons 5 minutes avec un couple de camping caristes qui promènent leur chat, puis nous allons faire un petit tour dans la vieille ville pour passer un peu le temps. De retour, nous croisons le camping-car de tout à l’heure qui s’en va et ils nous font signe de venir les voir. Ils nous ont laissés deux entrées pour le musée qu’ils n’avaient pas pu voir car c’était jour de fermeture, alors plutôt que de les jeter ils nous les avaient laissés !! Merci beaucoup…

 

Notre parking pour la nuit 

Nous passons une bonne nuit sur ce parking désert, il faut dire que nous sommes une veille de 15 août.

 

 

15/8 :

 

 

Nous ne nous réveillons pas trop tard. Après le petit déjeuner, nous nous rendons dans la vieille ville visiter la Citadelle et le musée. L’endroit est très beau, on nous avait bien renseignés.
 

Entrée nord de Belfort



Vue du haut de la Citadelle



Le musée



Et évidement le Lion de Belfort



Après un bon moment de balade et de visite, nous retournons au camping-car.

 

Il est temps de reprendre la route, c’est le jour du retour sur Valence. En principe, nous devons rouler jusqu’au soir et nous arrêter passer la nuit en milieu de parcours.

 

Nous roulons tranquillement sur la nationale et finalement nous progressons assez rapidement. Après un arrêt pour le repas, nous continuons notre route. Plus nous descendons, plus le vent est présent. Nous nous arrêtons dans l’Ain pour nous reposer un peu mais le temps n’est vraiment pas engageant. Nous aurions bien aimé trouver un petit lac pour passer la soirée et la nuit, mais rien de bien et le vent souffle très fort. Finalement, nous prenons la décision de rentrer à la maison pour la fin de l’après-midi.

 

Nos vacances prennent fin le 15 août vers 20 heures. Tout c’est bien passé (hormis le temps) et nous avons beaucoup apprécié ce périple d’une dizaine de jours. J’espère qu’un jour nous pourrons partir pour des durées plus longues. Notre nouveau camping-car est aussi une source de satisfaction même si l’ancien était déjà pas mal.

 

Nous sommes un peu déçu que nos vacances soient finies, mais heureusement nous repartons le vendredi après-midi pour aller à la course de Chateauneuf de Galaure alors la déception est un peu atténuée. En tout cas, nous avons encore beaucoup appréciés nos vacances 2007. Vivement août 2008 pour notre prochaine grande sortie, mais d’ici là, nous aurons pu faire pas mal de week-end de balade et de course !

5000 !

Merci à tous !!

En effet, hier le nombre de visiteur de mon blog a dépassé 5000 depuis sa création.

Bonne lecture à tous.

La dernière course de l'année, on peut la résumer en un seul mot : GRANDIOSE. Tant pour la course que le week-end complet.

Tout était prêt de bonne heure vendredi soir et nous sommes partis avec Denis et Sylvette vers 17 h 30. Christine nous suit en voiture car Loïs a école le samedi et elle travaille le lundi, mais la course est à 20 kilomètres de la maison.

Après un long voyage d'une demi-heure, nous arrivons sur place pour nous installer. Une petite heure pour tout caler, monter le chapiteau du MH SPORT et c'est parti. Cette soirée est en plus un peu exceptionnelle car c'est l'anniversaire de Marc qui passe le cap des 50 ans !


Rapidement rejoint par la famille COQUET, Raphael PANZARELLA, la famille REYNOUARD (sauf Cyril qui bosse), Martine et Jean-Charles et bien d'autres, nous entamerons l'apéro sous le chapiteau puis nous allons manger au petit resto de Divajeu. 

Un casque pour son anniversaire !

Ah non, c'est celui-là le bon !!

Monsieur PANZARELLA !!




Nous nous coucherons vers 2 heures du matin, mais ,contrairement à ce que disent les mauvaises langues, en bon état. La preuve, je serai debout samedi à 8 heures juste après le départ pour l'école de Christine et Loïs.


Du coup, j'en profite pour bricoler un peu, monter le barbecue. Puis, je vais reconnaître un peu, ce tracé que j'ai déjà fait 2 fois avec la GT orange et la 309.


L'analyse de la liste des engagés laisse rêveur, il y a un énorme plateau (pire qu'à Chateauneuf), nous sommes presque 40 voitures "ouvertes". Dans ces conditions, Denis pense qu'il sera difficile pour lui d'être dans les 10 et pour moi une 20e place serait déjà un très beau résultat. Seul souci, Denis me dit que si je suis 20e, il ne me parle plus !!! On est 15 en DE3, dont 5 Formules RENAULT (3 FR 2000 ! )

Pendant ce temps arrive la famille CADOUX, nous installons leur camping-car à côté du notre. Peut-être le regrettent ils maintenant !!!!.... C'est Jean-Phi qui roule ce week-end.


Après encore quelques montées de reconnaissance, je vais dire bonjour à René BESTAGNO et toute sa petite famille ainsi qu'à Fred MINI venu essayer sa nouvelle auto. On s'était entraperçus la veille mais on avait pas bien eu le temps de discuter. Le truc, c'est que sur cette course, je connais tout le monde donc je m'arrête de partout !! On voit tout le monde et personne à la fois, c'est sympa d'un côté et dommage de ne pas pouvoir passer plus de temps avec les gens.


Christine et Loïs sont revenus pendant ce temps.

Un péruvien !

De retour au camp, nous prenons un petit apéro avec la famille CADOUX, puis nous arrivons sous le chapiteau où il y a encore beaucoup de monde. Le repas commencera tard... On est toujours décalés par rapport aux autres nous !!


Dans l'après-midi, nous ferons quelques passages en voiture avec Denis pour peaufiner la course et nous bricolons un peu sur les autos. Il ne faut pas croire mais on fait la course sérieusement contrairement aux apparences.


Vers 18 h, certains entament une pétanque, j'en profite pour voir encore quelques personnes. Fifi, Mimi et Johanna nous ont aussi rejoint.


Puis, vers la tombée de la nuit, nous entamons l'apéro chez Daniel et Sylvie (COQUET), avant de regagner le chapiteau où tout le monde s'est rassemblé pour ce qui allait être un grand soir !!! Marc étant déchainé ainsi que les hommes en bleus. En fait, tout le monde avait bien envie de rigoler d'autant que Sylvette avait apporté un disque qui a vite fait de mettre l'ambiance (petit extrait : http://www.lelombrik.net/sons/1928/quequette-qui-colle.html).

Après un trafic de barbecue (c'est légal, on s'en fout !) (Merci Raymond !), nous pouvons entamer le repas.
Nous avons été un peu bruyants mais tout s'est calmé vers minuit, même si certains se sont couchés bien plus tard. Pour ma part, j'ai bien géré la soirée de manière à être en forme le dimanche. Seul souci, je pue la fumée du barbecue ! Tant pis, on verra demain.


Le dimanche, nous sommes réveillés vers 8 heures par les premiers moteurs. Un petit déjeuner, une douche froide et hop, je m'occupe de l'auto. Raymond et Jean-Phi ont déjà sorti la Tatuus, Denis dort encore !

Préparatifs du matin

Pareil pour l'auto de Jean-Phi




Et de Marc




Denis, enfin réveillé !!

La première montée d'essai libre démarre (pas de chrono) puis arrive notre tour, j'ai le numéro 5, c'est sympa de partir à la fin. La montée se passe bien, j'ai décidé de rouler pour essayer 2 ou 3 choses. En plus, il n'y a que 2 montées de course, il faut être vite d'entrée. Pour une fois, je ne suis pas complètement endormi (les effets de la douche froide ??). Arrivé en haut, mon ralenti reste aux environs de 3000 tours, c'est beaucoup ! Sur cette course, il nous faut redémarrer les autos pour retourner au parc et il y a pas mal de trafic, du coup avec mon ralenti haut je consomme beaucoup (de l'essence !!!) et je fini par tomber en panne. Un grand merci à tous ceux qui m'ont poussé jusquà la remorque (notamment Chris EYRAUD, désolé, je n'ai pas vu les autres !!).


Après avoir récupéré un peu de la poussée, je m'attaque au problème qui nous laisse un peu pensif mais finalement il sera résolu pour la journée. Le temps de réparer, de mettre de l'essence, de changer les roues et il faut y retourner (un peu trop en avance d'ailleurs finalement)

Sonia qui fera une belle course


Dans cette montée, je pars bien, les épingles sont bien enroulées (la première un peu trop), le dernier droite est déjà à fond malgré les tressautements de l'auto, seul le grand gauche me laisse dubitatif, j'ai l'impression qu'il passe bien plus vite. Finalement, je fais 52.11soit le 12e temps, 1er des FR devant Pierre VIAN, même si je me doute que cela ne va pas durer, je suis plutôt content mais le vrai classement c'est le soir et non pas à midi.




Jean-Phi attends son tour




Entre midi et deux, petit repas tranquille, Lilian nous a rejoint pour se mettre à l'ombre ainsi que la fille de Denis et Sylvette et toute sa petite famille. Par contre, nous apprenons que Fifi a le dos bloqué et qu'ils ne viendront pas nous voir en course.


Entre midi et deux, c'est un vrai défilé à la remorque, vu que nous sommes sur le chemin de la course, pas mal de gens viennent nous dire bonjour, c'est sympa.




Notre petit coin



Nous en profitons encore pour dire et faire quelques bonnes blagues.


Grande braderie chez la famille CADOUX !!



Puis, la course reprend ses droits, on est là pour ça ! On refait chauffer les autos. J'attends au maximum pour me mettre en prégrille car il fait chaud mais sur cette course c'est facilement gérable, en plus mon numéro fait qu'il n'y a plus grand monde sur l'accés de la course quand je dois y aller.



Première montée de course :


La voiture est pile en température lorsque j'arrive sur la grille. Jaune, Vert... Je pars très bien sur ce départ assez plat, le premier droite est bien passé, 1ere pour l'épingle gauche, l'arrière enroule légèrement sans exagérer. 2e, 3e 4e puis 3e pour le droite rapide, le grand gauche est mieux que le matin mais je n'arrive pas à passer à fond. La ligne droite est vite avalée, gros freinage pour l'épingle droite en 1ere. Le petit mur est facile à négocier, on monte jusqu'en 3e puis gros rétrogradage en 1ere pour l'épingle gauche qui passe sans souvirage. Ensuite 2e 3e 4e juste avant le droite qui passe à fond mais je suis secoué par les bosses, je suis un poil moins bien en trajectoire, pas trop grave, je ne lâche pas puis 5 pour aller sur la ligne. J'ai fait une belle montée sans erreur, le temps devrait être pas mal. 51.44s c'est bien. Pendant que je suis en haut, on apprends la sortie de Marc qui a bien abimé l'auto. Beau cadeau d'anniversaire !!



Il fait moins le malin le "taureau rouge" à l'envers dans les épingles !!


Je suis finalement 15e au général, 5e de classe (sur 15) et 2e FR car Pierre VIAN a réalisé une monte parfaite, il est devant toutes les F3 ! Je n'ai donc pas de regret a être 2e.

La classe s'établit donc VIAN, SAPIN, KRAFT, Denis et moi, derrière un petit trou est fait qui me permet d'espérer rester à cette place mais on ne sait jamais.


Entre les 2 montes, rapage de pneus puis un peu de repos. Nous constatons les dégâts sur la voiture de Marc : demi-train, moustache, crash-box. Un peu d'essence, puis notre tour reviens vite.


Deuxième montée de course :


Ayant fait une belle première montée, je ne suis pas du tout sùr d'améliorer mon temps, mais je vais rouler pour voir. Il y a une minute entre chaque concurrent, c'est un peu long mais cela n'est pas trop génant.

Je pars très bien, je passe vite dans le droite et sans toucher les freins je jette l'auto dans l'épingle gauche, l'auto enroule idéalement (des collègues présents me confirmeront un passage magnifique). Je suis bien en ligne, les vitesses s'enchainent je suis mieux que le tour d'avant, je ne lâche pas trop pour le droite et le grand gauche est bien avalé avec la fin en 4e à fond, c'est sûr, je suis plus vite. Malheureusement, je retarde trop mon freinage et le raccord de goudron juste avant l'épingle ne m'aide pas ! Je fait un petit tout droit dans l'épingle... GGGrrrrrr.... Petite marche arrière, je repars mais la montée est cuite. La dernière épingle gauche est pour les spectateurs ! Je ne prends aucun risque sur la fin. Je n'améliore bien évidement pas : 1.01minute.

Cette petite figure me coûte certainement 2 places au général (je suis finalement 17e) car nous sommes 3 en 15 centièmes. Par contre, vu qu'il s'agit de F2, je ne perd rien à la classe. Je fini donc 5e dans l'ordre de la première montée. Par contre, Jean-Phi a fait une belle 2e montée et remonte à la 6e place à 3 dixièmes de mon temps.

L'épingle droite a fait beaucoup de victime et on est nombreux a y avoir fait une erreur, Denis et Marcel SAPIN y ont laissé quelques dixièmes en ratant leur vitesse et pas mal d'autre y ont fait des figures !!





Pour moi, c'est un très bon résultat car il était loin d'être évident de se placer là avec une FR98. J'ai très bien conduit (pas une erreur de vitesse), seul un petit retard sur un freinage a terni ma journée mais c'est le jeu... Si j'arrive à vendre l'auto comme je le souhaite, le hasard aura fait que j'aurai fait la même erreur que Céline qui avait tiré droit dans une épingle à St Savin pour sa dernière course avec la petite auto au papillon...

Denis fini 12e et juste devant moi à la classe, Jean-phi juste derrière moi, Sonia remporte sa première coupe des dames après avoir très bien roulé sur un parcours qui en théorie ne lui convenait pas trop (épingles). Martine fini juste derrière Sonia. Devant Daniel COQUET n'a pas réussi à passer ANTIOCHA comme l'an passé, il fini 2e (pfffffff !!).


Les résultats complets : http://www.jldinformatique.fr/WD110AWP/WD110AWP.EXE/CONNECT/directs

Quelques photos de la course : http://www.objectifvideo.com/vids/video/videos_course.php?Para=266&Cat=5

Le parc sera assez long et nous mettrons longtemps avant de recharger les autos. 

Puis, après une bonne douche, il est temps de profiter de l'après course qui commence par un petit pastis. Il s'en suivra quelques autres avant la remise des prix. Ma 5e place de classe (2e FR encore une fois derrière Pierre) me rapporte une coupe et une prime, ça fait plaisir. La remise des prix est encore l'occasion de voir pas mal de monde que je connais et que je n'avais pas pu voir avant, notamment la famille COQUELET.

Christine doit partir car elle travaille demain et Loïs a école. (Il aurait mieux fait de ne pas y aller, il s'y est cassé le bras le lundi matin...). J'ai pris un jour de congés, je peux donc passer la soirée sur place.


De retour sous le chapiteau, nous nous retrouvons un petit groupe avec quelques nouveau René et Patricia BESTAGNO qui nous ont rejoint pour la soirée ainsi que Bruno et son collègue photographe. Ca part fort et ça finira fort vers 3 heures du matin, pas très clair ce coup-ci).




Les hommes en bleu dépités par la prestation de leur chef !

Sous l'insistance de toute notre petite équipe habituelle, je me suis engagé à la course de Durtol. Ils n'ont pas vraiment beaucoup insisté d'ailleurs car je ne me suis pas fait prier longtemps... Tout était prêt de bonne heure et nous avons pu prendre la route pour la banlieue de Clermont-Ferrand vendredi vers 17 H 15. Cette course sera la plus éloignée de la saison, nous serons sur place vers 20 H 45. Denis et Sylvette sont installés depuis le matin, "Firmin" et "Chat" ont eux aussi installé le camion de Marc. Eric est déjà là aussi pour fêter son anniversaire... Tout est donc en place pour une soirée dont nous avons le secret qui se finira vers 2 heures du matin...

Le repas

Ah vous voyez !!!

Le samedi matin sera court ! Lever vers 11 H avec comme premier reflexe........... un cachet !! Puis il nous faut aller reconnaître ce parcours un peu particulier. Denis le connaît bien, il a gagné les 3 dernières éditions. Nous passerons en scooter, en voiture (merci JOJO) et à pied avant de retourner au campement pour un petit apéro bien mérité et un petit repas. Comme d'habitude, nous sommes rejoint par pas mal de monde qui commence à arriver pour la course (entre autre François notre speaker barbu, et quelques concurrents).

Une fois de plus, on est bien installé

D'ailleurs Firmin en est très content !!...

Une fois le repas terminé (tard !), nous retournons un peu sur le parcours pour les dernières recos, puis je travaille un peu sur mon auto. Le nez s'était dévissé et il y a un peu de nettoyage à faire. Pendant que les filles sont allés aux vérifs, j'ai un petit coup de pompe, donc une petite sieste ne me fait pas de mal tout en se remémorant le tracé.

Au retour de tout le monde, nous finissons de préparer les autos (numéros, etc....) et je remets la mienne dans la remorque, prête pour le dimanche matin.

Sur cette course, nous sommes environ 75 voitures, il y donc Denis et moi, Marc est aussi engagé avec sa nouvelle F3 et Chrystelle participera aussi avec la 309 que lui a prêtée Jojo. Nous avons donc 4 voitures. Il y a peu de voitures ouvertes comparé à Chateauneuf, nous sommes onze monoplaces et 6 protos. Le problème pour Denis se nomme Eric BROTTES qui va être difficile à battre sur un tracé assez pentu. Pour moi, l'objectif est de battre les 3 autres FR surtout Roger COLLANGE et Lilian MEGE. Une 7e place est envisageable mais une course ne se fait pas sur un bout de papier.

Vers 20 H 30, nous nous retrouvons une grosse équipe sous la tente et l'apéro peut commencer (je soupçonnerai même certains de ne jamais avoir arrêté !!). La soirée durera jusqu'à plus de minuit mais je resterai sage comme toujours le samedi. Mon seul souci est une forte odeur de fumée qui m'a imprégné à côté des barbecues !! Je finirai donc sous la douche tard dans la soirée. Il est vrai que les camping-cars nous permettent d'appréhender la course dans de très bonnes conditions ce qui n'est peut-être pas étranger à nos résultats. Il ne nous resterait plus qu'a adopter une hygiène de vie digne des grands sportifs et on serait imbattables !!!! (Ca va pas la tête !!! Qu'est ce qu'il dit lui !!!!........)

Eric a eu une grosse vache pour son anniversaire !!

Coucher vers minuit et demi, la nuit sera très bonne (pour les voisins peut-être un peu moins mais c'est eux qui sont venus se coller à nous, au départ on était à l'écart de tout le monde pour ne pas gêner qui que ce soit). Nous connaissons la capacité de certains à avoir la chanson facile en fin de soirée (hein Jojo !).

Le dimanche matin commence plus calmement qu'à Chateauneuf, il faut dire qu'il y a presque la moitié moins de concurrents. Nous avons donc largement le temps de préparer les autos et les bonhommes. Heureusement, car la 309 ne démarre pas... C'est à ce moment que je retrouve Roger et Lilian qui sont arrivés tôt le matin car ils n'habitent pas très loin. Ces petites discussions entre pilotes sont toujours assez sympas.

Marc nous réveille au clairon

La F3 de Marc

Ma FR

L'auto qui a déjà gagné 3 fois cette course

Puis, vient le moment de rejoindre le départ.

Chrystelle est la première de nous quatre à s'élancer

Pour la première montée d'essai, je décide d'y aller doucement pour voir le comportement de l'auto sur ce tracé un peu bosselé et avec peu de grip. Après le départ, je m'élance pour la longue allonge avant le premier droite, mais j'en garde pas mal sous le pied car le freinage se fait sur une zone humide. Dans le virage, on me mets le drapeau "changement d'adhérence" ce qui me perturbe un peu car je chercherai de l'huile sur la route pendant un petit moment, finalement ce drapeau était pour l'eau mais le problème c'est que le commissaire était après !! A la sortie du droite, je fais une grosse glisse. Puis, à partir du début de la partie la plus pentue, il y a de la fumée de partout, je suis complètement déconcentré et je cherche d'où cela vient. Du coup, je conduis mal et je suis le plus souvent en sous-régime. La chose que je comprend le plus vite est que j'avais mal estimé quelques vitesses de passage et que pas mal de virages prévus en 3e se font finalement en 2e. Je réalise finalement 1'01"32 soit l'avant dernier temps des monoplaces mais ce n'est pas grave, il fallait que je me cale un peu. Le problème lorsque l'on ne va pas assez vite tout de suite et que l'on manque d'information en fin de journée qui permettent de faire un bon temps dans la dernière mais il est difficile de se lancer tout de suite à fond surtout sur un tracé que l'on ne connaît pas. Denis a lui aussi cherché l'origine de la fumée et à perdu pas mal de temps.

Sur la ligne de départ aux essais

Roger COLLANGE en prégrille

Denis au même endroit

Pour la 2e montée, je passe mes bons pneus, à part cela il y a peu de choses à faire sur l'auto.

Et c'est reparti. Avec les bons pneus, je rate un peu mon départ car le grip est important sur la ligne et il me faut m'y reprendre en 2 fois. J'attaque plus, je sollicite mieux mon moteur mais je ne freine pas très tard. En plus, je rate une vitesse. Arrivé en haut, je ne suis pas très content de moi mais le chrono est pas mal 56'71 soit le 7e temps premier des 4 FR. Denis est passé en tête au scratch.

Après cette montée, je décide de remonter un peu ma hauteur de caisse car je touche beaucoup trop souvent. Puis, nous chargeons les batteries des 2 autos. Pendant ce temps, Denis modifie l'étagement de sa boîte.

Pause de midi

Cette coupure nous permet de prendre notre repas et de nous reposer un peu, il fait très chaud et le temps est très lourd, un orage n'est pas improbable. Puis, la course reprend ses droits. Il faut refaire chauffer un peu les autos, contrôler les pressions... Arrive le tour des protos, il nous faut les suivre pour aller en prégrille. L'attente dans l'auto sous le soleil n'est pas le meilleur moment de nos courses ! Puis en prégrille, je retrouve Chrisitine, Sylvette et une bonne partie de l'équipe qui sont au nettoyage des roues. Enfin, arrive le 1er départ de l'après-midi.

Première montée de course :

Je ne pars pas trop mal mais ce n'est  pas exceptionnel. Là, plus question de réfléchir, il faut tout mettre à fond jusqu'au freinage de la première épingle. On y arrive en 5e aux environs de 150 et il faut tomber en 2e pour prendre la difficulté. Je ne freine pas très tard et je rétrograde...... jusqu'en 1ere au lieu de rester en 2e (quel abruti je suis !!). Cela cale un peu l'auto mais me permet de relancer derrière, une fois l'erreur faite, il faut s'en servir au mieux même si ce qui est perdu ne se rattrape pas. Sur l'enchainement technique gauche/droite, je ne suis pas trop mal mais j'ai tendance à me ralentir trop tôt avant le gauche. Le grand gauche rond du haut se passe pas mal mais j'ai quand même la sensation d'être en sous-régime. Le dernier gauche/droite est difficile à cerner au niveau de l'adhérence, je fais une petite virgule à la sortie. Pour l'instant, je n'arrive pas à passer le dernier droite très vite à cause des bosses. Autant vous dire qu'avec tout cela, je ne suis guère satisfait de ma montée (surtout à cause de mon départ et du rétrogradage de la première épingle). Mon temps : 56.45. Je suis 6e, en effet, Marc a tricoté avec ses vitesses et se retrouve derrière moi. Je suis devant Lilian et Roger pour environ 6 dixièmes et donc premier FR puisque la 4e FR ne monte pas, il n'aurait de toute façon pas pu suivre notre rythme (il a une auto plus ancienne que les nôtres et ses temps des essais étaient très loins) .

Devant, BROTTES est passé devant Denis qui est déjà plus vite que pour sa victoire de l'an passée. Il va lui être difficile de gagner, c'est sûr.

Peu de chose à faire sur mon auto entre la première et la 2e montée, je donne un coup de main à Denis pour changer ses ressorts arrières.

Deuxième montée de course :

Je me prépare au dernier moment pour éviter de trop transpirer dans le casque et j'arrive sur la ligne. Tout est très tranquille aujourd'hui comparé à Chateauneuf, j'ai l'impression d'être un peu endormi à chaque fois que je suis sur la ligne. Allez, c'est parti, là, mon départ est mieux et je reste à bloc jusqu'au fameux premier droite. Je passe bien, en 2 comme prévu, ma réaccélération est bien. 3e puis 4e, c'est plus vite qu'avant puis je rate un peu mon rétrogradage en 3e pour le gauche qui suit (du temps qui part pour rien !). Le droite est pris en 2 ainsi que l'épingle gauche ronde. Je secoue la tête de dépit car je ne suis pas assez vite, mon moteur peine un peu en sortie. 3e jusqu'au gauche puis 2e avant le droite glissant, c'est pas mal j'arrive mieux à voir la limite à cet endroit. La fin est pas mal même si je ne soude pas dans le dernier droite (je n'y arriverai d'ailleurs pas de la journée). Je pense que je suis mieux mais l'erreur de 3e en plein milieu du mur pénalise beaucoup. Je gagne 8 centièmes : 56.37. Je suis maintenant 7e (Marc a enfin réussi à monter correctement !!). Toujours premier FR mais Lilian MEGE s'est approché à 3 dixièmes, Roger COLLANGE n'améliore pas. Devant, la situation reste inchangée, seul Franck PALMER réussit à monter sur le podium aux dépends de Raphaël PANZARELLA.

Après cette monte vient le moment du nettoyage des pneus qui commencent à se charger. J'ai le temps de faire mon train arrière mais pas l'avant. En plus, le rapage est épuisant en plein soleil. Un peu de repos et il est temps d'y aller pour la dernière. Je n'ai encore pas fait une montée parfaite, j'espère y arriver ce coup-ci surtout que Lilian n'est plus très loin.

Le proto du Boulanger !!

Sur la prégrille, j'entends que le "boulanger" a fait 56'38 soit un dixième de plus que mon meilleur temps, Ouf !! Je me dit qu'il ne faudrait pas faire comme à Laussonne et se faire passer dans l'ultime montée (on va appeler ça : le syndrome SUDRE...). Il n'y a pas à tordre, il me faut améliorer pour être tranquille et me mettre à l'abri.

Prêt pour le dernier départ du jour

Troisième montée de course :

Mon départ est parfait, mais je merdouille un peu ma 3e (ça c'est nul car il n'y a aucune difficulté à faire 2/3 en ligne droite!). Mon freinage est bien, l'épingle aussi. Je ressors bien dans le mur et je ne freine pas trop tôt dans le gauche (importance des premiers passages du matin, j'aurai du le comprendre avant ça !). Puis je retricote ma 2e avant le droite (2e erreur ça commence à faire !), mais je ne lâche rien et l'épingle à gauche est enfin bien passée ! 3e, le gauche est bien passé et je me rate encore une fois en mettant ma 2 pour le droite glissant. Cette fois-ci, ça fait beaucoup ! Je laisse donc couler sans risque jusqu'à l'arrivée. Pour moi, c'est clair j'ai du perdre beaucoup de temps par rapport à mes autres montées. Il ne reste plus qu'à serrer les fesses et attendre les temps de mes concurrents. Après le demi-tour, je croise Roger au lieu de Lilian qui partait juste derrière moi. Que s'est il passé ? J'espère qu'il n'est pas sorti. Je sais par contre que je conserverai ma place en principe sauf si COLLANGE à fait une grosse amélioration. Roger me dit que Lilian a cassé un cardan au départ, rien de trop méchant, heureusement ! Il ne sait pas son temps lui non plus. Nous verrons en bas. En redescendant, je regarde le tableau des temps à l'arrivée, j'ai fait 56.10 !! J'ai amélioré de presque 3 dixièmes !! Je n'y crois pas vraiment mais le chiffre est là. Il est évident qu'un 55 était largement faisable sur cette course en réalisant une très bonne montée, mais je n'ai pas réussi, je crois que c'est la première fois de l'année que je fais des erreurs à toutes mes montées. Je reste donc finalement 7e et premier des FR. Lilian m'avouera plus tard qu'il espérait passer devant mon temps de la 2e montée, mais qu'au vue de mon amélioration il ne me serait certainement pas passé devant. Nous ne le saurons jamais...

La voiture de Lilian MEGE après la casse de son cardan

Une chose est sûre, c'est que même si j'avais fait une montée parfaite, cela n'aurait rien changé au classement car la F3  devant moi (BARCAT) est à 1,3 seconde. Pas trop de regret donc pour le classement, mais j'ai horreur de mal piloter, je suis donc un peu déçu de ma course mais mon entourage me dit que c'est bien malgré tout. Ils sont gentils !! Il est vrai que si je n'avais rien compris à cette montée, je n'aurai pas pu être devant Lilian et Roger, il y a donc des endroits où je devais être bien mais j'ai fait quelques erreurs techniques qui n'auraient pas dù exister surtout en ayant couru la semaine précédente. J'espère une chose, c'est que ces petits ratages sont de mon fait, et que ce n'est pas un souci d'embrayage (il est quasiment au bout) sinon je vais aussi être embéter à Crest.

Devant, malgré une belle amélioration dans la dernière montée, Denis reste 2e mais on le pressentait un peu depuis le début du week-end. Marc fini 5e et va lui aussi aller apprendre à passer des vitesses en ligne droite ! Enfin, Chrystelle fini 63e après avoir amélioré toute la journée, et surtout pas cassé la voiture à Jojo.

Le résultat complet ici : http://www.asadomeforez.com/Documents/Durtol/Classements.pdf

Après le parc, nous rangeons les autos et tout le matériel. Une petite douche et on peut commencer l'apéro ! Nous nous rendons ensuite à la remise des prix. Après celle-ci, nous sommes de retour sous le chapiteau pour le repas du soir (pour ne pas dire de la nuit !). Nous nous coucherons vers 2 heures non sans avoir vu Denis nous montrer ses talents de joueur de clairon !!

Ca fait de l'écho !!

Le lendemain, nous plions le camp. Les quelques rescapés du week-end partent les uns après les autres. Avec Denis et Sylvette, nous partons en direction du Puy. Nous prenons notre repas à Brives Charensac. Marc nous y rejoint un instant entre deux clients. Puis nous rentrons définitivement jusqu'à Portes pour rentrer nos autos.

La Loire à Brives Charensac

Encore un très bon week-end de passé. Seul regret, c'est en principe mon avant-dernière course de la saison car je ne pourrai pas aller à Escoutoux (pourtant ils ont insistés !! Mais nous sommes de mariage). La prochaine sera donc à deux pas de la maison à Divajeu à coté de Crest.